René MARAN.
Les Contes de Birago Diop sentent nettement la brousse africaine tendant l'oreille aux battements sourds des tam-tams mâles et femelles, l'atmosphère impondérable des villages noirs s'endormant dans l'apaisement du soir, les palabres qui les divisent et qui font appel, finalement, aux arrêts des coutumes de la sagesse nègre, dont les anciens sont les mainteneurs.