Jean DUVIGNAUD, Jeune Afrique,
Ce que tente Birago Diop, c'est de concilier la fragile mélopée des contes, l'humour si caractéristique des Africains, et la recherche d'un langage qui porte la marque d'une vision personnelle.
... Lorsque Birago Diop réussit à équilibrer la « moralité» des contes, l'univers poétique et le dialogue, qui se développe en une sinueuse histoire, on dirait qu'il parvient à réaliser le rêve des romantiques européens qui voulaient restaurer la poésie naïve et enfantine de l'Humanité.
30 juin 1963.