Amadou Traoere Konteye : Contribution d’une figure historique à la gloire du mouvement Négritude : Birago Ishmael Diop
Le présent projet se propose de mettre en exergue la contribution d’une figure historique à la gloire du mouvement Négritude : Birago Ishmael Diop connu sur le nom populaire, Birago Diop. Ce choix se justifie en raison de la grande contribution de cet homme d’état, écrivain, poète, médecin vétérinaire et figure politique, à la préservation, à la l’expansion et au découvert des diverses cultures Africain dans ses œuvres de contes et œuvres poétique. Après une brève histoire du Sénégal son payes natale. En plus une brève biographie de ce héro national, nous allons analyser ses contributions respectives à la Négritude, et si ses contributions sont avec ou en rupture avec les canons de la vraie culture Africain que le Mouvement Négritude envisage.
D’abord ou se trouve le Sénégal ? Le Sénégal est situé en Afrique de l'Ouest, à 3000 kilomètres de la France. Ses pays voisins sont le Gambie, Le Mali, le Guinée, le Guinée-Bissau et le Mauritanie. L’histoire du Sénégal n’est pas limitée seulement du période coloniale. Avant l’arrivé des blancs, le Sénégal fessait partie de nombreux royaumes. Par exemples au vieux temps, l’Empire Almoravides, l’Empire du Ghana, et l’Empire du Mali, chaque avait une partie du Sénégal, mais après la chute de ses empires, il y avait des nouveaux empires comme l’Empire toucouleur, Royaumes sérères, le Sine et le Saloum, l’Empire du Jolof et Le Waalo. Avec l’Islamisation de ses empires arrive la diffusion culturelle.
Le Sénégal est un carrefour d’ethnies et de traditions ; ici se trouve la terre des Wolofs, Toucouleurs (pulaar), Soninkés, Diolas, Séréres du Sine, Mandingues, Bassari, Bédik, Baïnouks, Balantes, Mandjaks, et Sossés. La religion dominant est l’Islam qui conte 95%, le Christianisme qui conte 5%, et l’animiste qui est la religion des ancêtres, c’est toujours prévalant car il y a des gens qui pratiquent l’animisme malgré S’ils sont des musulmans ou des chrétiens. Para port aux autres pays qui ont des conflits religieux, le Senegal se trouve en calme est en paix ; il y a un grand esprit de tolérance que les leaders ou marabouts, prêtres ont parlé sur le sujet de tolerance. Cet esprit de tolerance continue de prélever.
Pendant les années du system coloniale, un homme d’état prolifique Blaise Diagne, élu en 1914 pour maire de Saint-Louis. En 1916, il a négocié « Loi Blaise Diagne » la pleine citoyenneté à tous les habitants des quatre communes, Dakar, Gorée, Saint-Louis, et Rufisque. Saint-Louis est très important ; c’est la capitale politique de la colonie française et de l'Afrique occidentale française. Sur la vie politique, En 1960, Le Sénégal est devenu un pays souverain « la République du Sénégal est un des pays les plus stables du continent surtout à l’Afrique sub-saharien (l’ouest). Forte d’une grande tradition démocratique, avec des institutions fortes » Les deux présidents du passé sont Léopold Sédar Senghor (1906 – 2001), Abdou Diouf (1935-présent) et l’actuel président Abdoulaye Wade (1926-présent). Aujourd’hui, sur le point économique, la pêche et du tourisme sont principales. En plus agriculture, élevage et commerce.
Maintenant qui est Birago Ishmael Diop? Birago Diop est né le 11 décembre 1906 à Dakar, dans un quartier qui s’appelle « Ouakam ». Avec « Loi Blaise Diagne » Diop est automatiquement un citoyen de l’Hexagone parce qu’il est à Dakar qui fait parti l’une des quatre communes. Pareil de Camara Laye, l’auteur du texte l’Enfant Noir, Birago Diop a suivi l’école coranique à l’âge de 5 ans comme faisant les enfants musulmans et ensuite il a commencé l’école française à l’âge de 10 ans. Son group ethnie est Wolof ; son père a abandonné la famille pendant son enfance donc la partie paternelle se sera ses deux frères Massyla et Youssoufa qui sont à la position. Sur la partie maternelle, sa mère et ses tantes avaient joué aussi des rôles de maîtrises pendant son apprentissage d’enfance.
René Maran dit
Les Contes de Birago Diop sentent nettement la brousse africaine tendant l'oreille aux battements sourds des tam-tams mâles et femelles, l'atmosphère impondérable des villages noirs s'endormant dans l'apaisement du soir, les palabres qui les divisent et qui font appel, finalement, aux arrêts des coutumes de la sagesse nègre, dont les anciens sont les mainteneurs.
Selon cette révélé de compte, quelles sont les sources d’influence de Birago Diop ? L’instauration commence avec le « théâtre nocturne » qui fait partie dans la tradition africaine ; par exemple, pendant son enfance, ses membres de famille et les habitants de son quartier lui racontaient des contes. Car il n’y avait pas des distractions comme aujourd’hui avec les petits trucs, les machines ou gadget, l’enfant était plus formé dans ses contes de « fables ». Il y a la philosophie de dans, et ce genre d’école traditionnelle cultivé l’enfant d’être conscient. En plus il y a l’éducation concernent la vie sociale, les interactions avec les étrangers, les difficultés, et la vie en général. Avant de faire la mal, l’enfant qui est devenu adulte gardera l’idée centrale de ses fables, qui conseille « pensez-vous trois fois avant de prendre action » Ajoutant UNESCO
La tradition orale était – est toujours – une composante majeure de la culture africaine, dans laquelle les archives entières de tout un village étaient enregistrées dans la mémoire d’un conteur particulier, ou griot. Le griot était chargé de rappeler à travers les générations les histoires des guerriers et des rois. Ainsi s’établissait un sentiment de continuité, tandis que les coutumes et la culture étaient préservées au sein de la tribu et du village.
Le début ou l’origine de l’exposer des « fables » ; Birago Diop apprenait les contes par diverse personnages. Par exemple, les gens ordinaires, avec des professions différents et de différentes générations. A l’école Birago récitait des fables de La Fontaine écrit par Jean de La Fontaine. Mercier et Battestini dissent
A l'école primaire il apprit, par hasard, que les contes pouvaient non seulement être « dits », mais mieux, être « écrits » : il découvrit un petit livre de la Bibliothèque Rose -. Les trois volontés de Malick, qu'avait publié, un instituteur sénégalais : Mapathé Diagne.
Selon ses frères, Massyla est écrivain, poète, et grand journaliste et Youssoufa est médecin, historien, et grand voyageur, donc Birago était entouré d’une massive bibliothèque.
En vacances, le vieux griot Guéwel M'Baye et le diseur Matabara Massamba Ali M'Baye le ramenaient aux origines, et Birago reconnaissant fera de Guéwel M'Baye l'un des trois héros du Prétexte. Il retrouve les dits de son griot favori dans ses lectures éclectiques (les « Africanistes » et le fameux « Batouala» de René Maran). Ne revenons pas sur l'influence probable de ses professeurs de Saint-Louis, ou de Toulouse, ni sur ses connaissances de la rue de Lourmel ou de la Cabane Cubaine (Mercier et Battestini).
Il était aussi un élève très intelligent en mathématique, sciences et un génie en français, « Il était toujours premier dans les cours ». Vers les années 1920s particulièrement en 1925 au lycée Faidherbe, le jeune Birago s’engage à la poésie. Dans les années tard 20s et avant 30s, Diop est allé en France pour faire ses études d’université. La raison pour laquelle il est allé en l’Hexagone, c’est que pendant les périodes coloniales, le Sénégal n’avait pas d’université. Comme Camara Laye, Léopold Sédar Senghor, Abdou Diouf, et l’actuel président Abdoulaye Wade ont tous avaient accomplis leurs haute études en France. Ses pendant les années 30s que a rencontré les trois pères (Aimé Césaire, Léopold Sédar Senghor, et Léon Gontran Damas) du mouvement Négritude en France.
En 1933 il a fait ses études de médecine vétérinaire à l'Université de Toulouse. Dans la vidéo, il a dit qu’il écrivait au début mais les écritures s’étaient privé et pas publique. Qui sont les intellects qui ont poussé Birago d’écrit plus et les faites publié ?
Damas et Ramon Fernandez le forcèrent presque à écrire ce qu'il disait, chantait et dansait. Condamné à écrire, Birago écrivit, mais toujours chantant et dansant. Il s'amusa beaucoup!(Mercier et Battestini).
La revue L'Etudiant noir créée par le Sénégalais Léopold Sédar Senghor, le Martiniquais Aimé Césaire et le Guyanais Léon Gontran Damas dans les années 1930 à Paris, c’est ici que Birago Diop se fait connaitre au publique. Dorothy S. Blair dit « As we have seen, Birago Diop, if not one of the founders of the Negritude movement, was one of its earliest adherents, and his work showed an inflexible loyalty to the principles proclaimed by Césaire, Damas and Senghor » (African literature in French, p.38)
Après son mariage avec Marie-Louise Paule Pradère en 1934, les années suivantes Birago Diop suivait sa carrier vétérinaire a même temps il écrivait ses œuvres. Par exemple, en 1937 jusqu'à 1939, il était vétérinaire au Soudan; ici
Birago ressentit plus intimement le contact avec les êtres et les choses. Il cite la redécouverte des rudiments de son enfance à leur source première : « mots ésotériques des Kassaks, chants initiatiques, mets-nobles des passines-devinettes». Redécouvrant le Soudan, il découvre les «Soudanisants», Dupuy-Yacouba, Mamby Sidibé, et le colonel Figaret, son voisin de Ségou. (Mercier et Battestini).
Comme vétérinaire, il a servi en Côte d'ivoire en 1939, Haute Volta (Burkina Faso) en 1940 et aussi a Mauritanie en 1950. Pendant ses années 60s, le Sénégal a eu indépendance, et Senghor est nommé président de la république. Comme des amis proches depuis leurs études en France, Président Senghor lui avait donné une poste d’être l’ambassadeur en Tunisie dans les années 1960 jusqu'à 1965.
Ceci dit sur son pays natale, sa vie, ses origines, et ses différents professions ; maintenant, nous allons analyser ses contributions respective du mouvement Négritude, et si ses contributions sont avec ou en rupture avec les canons de la vraie culture Africain que le Mouvement Négritude envisage. Alors qu’il a écrit plusieurs contes, poèmes, et des mémoires ; selon ses œuvres, Contes d'Amadou Koumba 1958 et poèmes d’œuvre Leurres et Lueurs 1960 sont les deux œuvres principales qui sont contribué a la contribution du Mouvement Négritude. Patrice Birago, son neveu dit
C'est à Paris qu'il composa en 1942 les Contes d'Amadou Koumba (publiés en 1947), marquant dès ce premier livre sa prédilection pour la tradition orale des griots, ces conteurs populaires dont il ne cessa jamais d'écouter la voix. Respectueux de l'oralité, il affina un talent original d'écrivain dans les Nouveaux Contes d'Amadou Koumba (1958) et Contes et Lavanes (1963); son recueil de poèmes Leurres et Lueurs (1960) est profondément imprégné de culture française alliée aux sources d'une inspiration purement africaine, (chez-Alice).
La Négritude qui est un mouvement littéraire des années 1930, '40, '50 à Paris par les écrivains de langue française d'Afrique et des Caraïbes. Le mouvement de la négritude a été influencé par la Renaissance de Harlem. Ses deux mouvements sont contre la politique d'assimilation ; ils parlent de l’acceptation d’être noir et selon de la diaspora noir, l’homme noir fait le retour en Afrique physiquement ou mystiquement. La Négritude protestait contre la domination coloniale française. Les trois pères ont commencé à examiner de façon critique les valeurs occidentales et de réévaluer la culture africaine. Contrairement d’histoire de l’occident qui est écrit, l’histoire de l’Afrique est dit oralement par les griots qui sont les gardiens de l’histoire d’Afrique.
La négritude est l'ensemble des valeurs de civilisation du monde noir telles qu'elles s'expriment dans la vie et dans les œuvres des Noirs, (p90).
Dans l’œuvre Contes d'Amadou Koumba, Birago Diop nous raconte les contes disait le griot, pas oralement mais en les écrivant. Lilyan Kesteloot dit « Birago Diop nous dit modestement qu’il n’invente rien, mais se contente de traduire en français les contes du griot, de sa maison, Amadou, fils de Koumba. Ne nous y laissons pas prendre. Il fait comme tous les bons conteurs de chez nous : Sur un thème ancien il compose un nouveau poème » (p142). D’abord le griot est un communicateur traditionnel en Afrique occidental ; il ou elle fait le griotisme.
Quelle est l’importance du griot ? Premièrement le griot est originaire dans l’Empire du Mali (Mandingue ou Malinké) ; le terme malinké djéliya signifie «transmission par le sang» djéli signifie «sang» Chez les Wolofs désigné approximativement par ngéweul. Comme l’Empire du Mali s’organisait en caste, et chaque caste à « une profession ou une activité artisanale, participant à la cohésion et à l'unité de la société. Les forgerons, les cordonniers, les cultivateurs, les tisserands, les chasseurs, les griots constituaient les principales castes de la société mandingue » (Unesco). Pareil à Camara Laye, l’auteur du livre L’Enfant Noir, Son surnom « Camara » correspondait à une profession, Le père et la mère de Laye sont issus de la même caste, une tribu de forgerons. Birago Diop a puis montré la vraie culture Africaine dans l’œuvre Contes d'Amadou Koumba.
Sur le sujet de la poésie, dans l’œuvre Leurres et Lueurs, l’un de ses poèmes s’appelant « Souffles » rend hommage aux ancêtres ; les ancêtres font partie dans notre vie. Par exemple, la dernière verse dit
Ecoute plus souvent
Les Choses que les Etres
La Voix du Feu s’entend,
Entends la Voix de l’Eau.
Ecoute dans le Vent
Le Buisson en sanglots,
C’est le Souffle des Ancêtres
En plus, l’association avec la nature et l’atmosphère, nous montrons que les ancêtres sont toujours en existent avec nous. En 1972, Birago a gagne le prix Neusdat International pour littéraire, c’est un prix biennal de littérature organisé par l'Université d'Oklahoma et de sa publication littéraire international, World Littérature Today. « Il est largement considéré comme le plus prestigieux prix littéraire international après le prix Nobel de littérature » Comme le prix Nobel, il est attribué non pas pour un même ouvrage, mais pour tout un plan de travail. Il a été établi en 1969. Il est décédé le 25 Novembre 1989 à Dakar.
Finalement, en tant qu’un Africain-Sénégalais, étudient de science politique et le francais, la diversité est très importante, et Diop a traduis l’histoire Africain de différents ethnies et de langues qui sont oralement dit en les écrivant en francais qui la langue j’apprends a l’université. Si Birago Diop n’avait pas le penchant pour mettre les contes « fables » en écritures, l’occident serait toujours êtres ignorants que l’Afrique avait une civilisation avant la colonisation.
En fin, grâce à Birago Diop, l’histoire Africain qui était préservé oralement et traduirait dans la langue Française pour bien justifié ce que disait René Maran « L’Afrique a sa propre culture aussi ». En conclusion, j’ai choisi mon sujet sur la vie Birago Ishmael Diop et ses contributions surtout sur le mouvement Négritude pour mieux comprendre ma culture des les contes et les poèmes sur l’histoire Africain et la diaspora, et Birago Diop arrive à faire beaucoup pour la survie de la riche culture, tradition Africain.
Amadou Konteye
Français 308
Projet Final : Birago Diop
Birago Diop et sa contribution dans le mouvement Négritude
Automne 2010